Huile sur toile 46 x 33
Elle fascine autant qu’elle inquiète...
Arpenter ses ruelles ondoyantes
Entendre ses bruits, ses silences
Et c’est l’infini qui commence…
Des passages dans tous les sens
Montent, tournent, descendent…
Mystère de ses maisons blanches
Accrochées les unes aux autres
Improvisées selon les fantaisies
Des bâtisseurs du temps jadis…
Rechercher ses ombres de fraîcheur
Pour se fondre avec elles
Autour la chaleur écrase…
Puis triomphe à nouveau la splendeur
De la lumière qui redonne un instant
A ses murs patinés par le temps
Un décor comme sorti d'un rêve ...
6 commentaires:
mais où est donc passée ma Michelle?
très belle toile , et très beau poème , heureusement qu'il nous reste quelques endroits où l'on peut encore s'émouvoir..
bonne nuit à toi
trés belle toile, elle me rappelle certaines maisons perdues dans les méandres des minuscules ruelles, le bleu a cédé sa place ?
Bises
Bonjour Michelle,
Je t'ai tagguée sur mon blog:
6 trucs sans importance
Massir, je ne comprends rien à ce truc. Je dois être hermétique
Me voilà Moghrama.
Je sais j'ai un peu déserté le blog...
Je suis contente que ce texte te plaise. A bientôt.
Non tata Ichtir, le bleu ne cèdera jamais sa place, il demeure omniprésent dans l'ensemble de mes toiles.
En Tunisie, il y a aussi des ocres...
et j'ai eu envie de les restituer à travers cette toile.
Bises
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