Je ne te connais pas mais je ne cesse de découvrir ta gentillesse. Ce commentaire laissé comme une bouteille à la mer sur ton site de photos de Nabeul a trouvé un tel écho que, depuis, tu es devenu mon photographe personnel de l’autre côté de la rive…
C’est aussi grâce à toi que j’ai retrouvé mes pas d’enfant dans l’impasse et le passage obligé devant la mignonne petite synagogue devenue depuis une bibliothèque, tous ces clichés que tu as pris pour moi un dimanche matin sous le soleil d'hiver...
Pour rien au monde, je n’aurais manqué ces bains de mer se terminant à l’ombre de "la Pergola" la faim au ventre autour d’une « kémia » au goût de chez nous…
L’image est là… J’ai le goût du sel sur mes lèvres… Le scintillement de l’eau au fond des yeux…
14 commentaires:
bonsoir Michelle ,je suis tombée sur votre blog par pur hasard ,je cherchais des peintures orientalistes sur le web! c'est beau ce que vous faites! permettez moi de mettre votre lien sur mes blogs ,car nous avons un point en commun: l'amour de ce petit pays
bien des choses à vous
merci d'avoir regardé mon blog et merci pour votre mail sympa.
bonne continuation
Aliette
http://alietteg.over-blog.com
@Mogharama
Merci. Je suis allée sur vos blogs et j'ai apprécié l'esprit qui s'en dégage, l'art dans toutes ses facettes...
Je suis admirative du travail accompli pour alimenter au jour le jour ces blogs par des références de qualité.
Je vois que nous avons d'autres choses en commun...
@ bientôt
@ Aliette
Oui votre travail est intéressant, j'aime bien les tissus collés, cela doit donner plus de relief à la toile.
Je ne me suis pas encore aventurée dans les collages mais je pense un jour essayer.
@ bientôt
En Passant par chez Moghrama , j'ai vu votre message et je suis venue faire un tour chez vous : un enchantement de couleurs.
'Volutes de voiles" est magnifique.
Le bleu est ma couleur préférée, Cette couleur me repose et me rassure et me font rêver plus qu'aucune autre couleur.
Les photos sont très belles aussi...envie de faire un petit tour en calèche et de me promener le long de la plage
Brrrrrrrchez moi il fait -3!
Bonne soirée Michelle je repasserai pour continuer ma visite et vous lire tranquillement
Lyse
La Source.
D’une source jaillit l’eau vive.
Les souvenirs sont ainsi.
Limpides et clairs. Et s’étirent.
Ils coulent sur le lit de ton enfance.
Cette mémoire dorée d’antan.
Des chants, des odeurs, des petits pas, des blas blas
Des parfums, des effluves qui ne te quittent pas.
Des photos, des paroles sages que tu n’oublies, n’est ce pas... !
Et soudain tout redevient magique comme par enchantement.
Le rideau s’ouvre, spectateurs, sur sa scène
Sur ses plancheS vernies défilent ses envies,
Ses contes et histoires souvent narrés par l’ancien sur le seuil d’une skiffa.
Pas loin d’un ‘bir’*où dort l’eau sereine n’est ce pas ... ! * Puits.
Qui rappelle le reflet d’un visage d’enfante.
Où d’un cep de vigne qui pousse et s’étale malgré les ans.
Vétuste sans doute mais toujours vert à ton regard d’aujourd’hui.
Le voilà qui longe des années plus tard la lisière de ta mémoire.
Sans vieillir, il s’abreuve en secret
Sans perdre ses racines, il vit comme vit en toi
Ta petite jeunesse jolie
Et aujourd’hui femme épanouie.
L’oubli s’oubli lorsque le vent du passé caresse
La palette de tes couleurs dont tu connais l’ivresse.
Heureuse icelle qui revient de loin, pépé
Pour redonner vie à celui qui ne meurt jamais.
Merci Lise d'être passée par là. Moi aussi j'aime le bleu, je suis née dedans.
Un ami bloggeur peintre dit que c'est la couleur de l'émotion...C'est bien vrai!
J'ai découvert vos blogs ce matin en flanant chez Moghrama. J'aime la poésie, je reviendrai vers tes rêveries...
@ bientôt
Elle aurait pu dire Mesdames et Messieurs
‘...Peindre est ma vraie nature... !’
Car qui peint son pays peint aussi l’amour.
Car qui écrit, dessine sa vie et nul mot dérisoire
Soit t’il n’est vain lorsque coule dans ses veines
Sa nostalgie.
Lorsqu’il s’agit de la croquer, son goût est amer
Mais lorsqu’on la vit en secret dans son cœur
Par sa plume ou son pinceau, alors monte la sève
De la renaissance, de la reconnaissance.
L’ingrat n’a pas de foi.
La gratitude mérite toutes les religions.
C est de bon aloi.
Elle aurait pu dire
‘...Et combien même je peindrai... !’
Et j’aurai pu dire
‘...Et combien même j’écrirai... !’
Que de combien lorsque l’on songe à l’autre.
A celui qui nous a bercé pas loin des terres arides
Mais auprès de l’eau saumâtre qui donne rendez vous
Aux soleils levants ou couchants.
Lorsque ma mère me dit...
‘...Touacht blédi... !’ ‘ J’ai langui mon pays... !)
Je la regarde ma vieille, sans mouiller mes yeux
Mais mon cœur bave la pluie du souvenir.
Je me gave cependant de que j’ai vécu
La tête tournée vers mon horizon.
Hélas, je trébuche à chaque fois lorsque je vois devant moi
Ce pays que je n’aime pas.
C'est avec plaisir que je t'accueillerai sur mes blogs. De mon côté je vais continuer ma balade en bleu. Je me sens bien chez toin la couleur sans doute... et tes mots.
Le bleu, la couleur de l'émotion,
j'aime beaucoup ce mot avec lui tout est possible. Un monde dépourvu d'émotions serait un monde froid et sans créations.
Je te souhaite un bon dimanche
"Je me sens bien chez toin "
"chez toi " bien sûr
le N est en fait une virgule
@ Lyse
La force réside dans cette capacité à laisser exprimer ses émotions comme elles arrivent.
@ Albert
Tu m'offres une matinée féconde en poésie. J'aime quand tu écris ta nostalgie du pays de là-bas...
bonsoir,
J'ai lu le poème de Breîtou de la Gargoulette, j'ai pleuré, je n'avais plus de mouchoirs, j'ai pris un drap blanc, mais il commence à ruisseler tellement je suis émue, svp Monsieur de la Gargoulette, écrivez des poèmes mais hilarants clinton.
Maïna de testour
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